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La gamme Cisco DX, deux changements de paradigme en collaboration


23 October 2014


Nous vous en parlions en Mai dernier, la simplification de l’usage est au cœur des développements des terminaux de collaboration, et Cisco apporte ces éléments sur chaque bureau avec le Cisco  DX70 et DX80. Il est de temps de fournir à chaque collaborateur, et pas seulement à une catégorie spécifique, les outils permettant de collaborer avec chacun au pied levé, dans des conditions exceptionnelles, et sans tracasseries technologiques.

Car en effet, si beaucoup de travaux sont effectués au niveau des infrastructures pour unifier les différents systèmes de communication et casser les silos, bien souvent les outils pour accéder à ces outils restent spécifiques à chaque système. Tout le travail effectué au cœur de l’architecture, s’il est une victoire de l’ingénieur, reste une défaite d’un point de vue usage si les utilisateurs finaux ne peuvent ou ne savent l’utiliser.

Illustrons un peu ce propos. Même si le trait est un peu forcé, vous reconnaitrez beaucoup de systèmes de communication dans ce que nous allons évoquer.

La plupart des organisations mettent à disposition de leurs collaborateurs des téléphones, soient-ils IP ou non, là n’est pas le propos. Ils permettent d’accéder au système de communication « voix », à l’annuaire, et au réseau de téléphone public.

En complément, pour faire face aux enjeux de la mobilité croissante des collaborateurs, les organisations mettent de plus en plus à disposition des équipements plus transportables, et donc remplacent bien souvent à la demande du collaborateur les ordinateurs de bureau statiques par des ordinateurs portables. Cette mobilité accrue s’accompagne par une recherche d’un encombrement et d’un poids minimum, ayant pour conséquence la diminution de la taille des écrans. La plupart des ordinateurs portables ont une taille entre 13 et 15 pouces (entre 33 et 38 cm). Comme les collaborateurs passent tout de même du temps à leur stations de travail, ils souhaitent tout de même bénéficier d’un environnement confortable et, l’âge ainsi que l’affaiblissement de la vision aidant (et là je parle pour moi, sic), les collaborateurs apprécient l’utilisation d’un moniteur additionnel pour leur confort et leur efficacité.

Avec le développement de la visioconférence, les organisations ont également mis à disposition de terminaux vidéoconférence, occupant des salles de réunion, bloquant parfois ces ressources très demandées en les dédiant à l’usage spécifique de la vidéo. Ces équipements ne sont pas à proprement parler des équipements personnels de l’environnement de travail mais en constituent une extension. Ils sont parfois tellement utilisés ou nécessaire à la réalisation de tâches quotidiennes que des terminaux de vidéoconférence personnels sont fournis à certains utilisateurs. Si ils ont l’avantage de pouvoir dupliquer les ressources vidéo disponibles, ils ont bien souvent un prix ne permettant pas le déploiement en masse de ces équipements pour l’ensemble des utilisateurs, en restreignant ainsi l’usage (et la place sur le bureau de notre collaborateur).

Ceci n’est pas une simultation

Pour essayer de dépasser cette limitation,  l’utilisation d’une plateforme non spécialisée, relativement peu chère, et disposant de suffisamment de puissance pour traiter de la vidéo et d’une souplesse permettant d’intégrer des périphériques audio et vidéo semblait évidente. Ainsi l’ère de la vidéo logicielle est née, permettant de déployer un softphone voix et/ou vidéo sur le poste de travail de tout un chacun. Cette libération de l’ouverture du service aux utilisateurs s’est aussi accompagnée des épiphénomènes liés à la nature même de cette plateforme non dédiée : une disponibilité peu représentative de l’état réel de l’utilisateur, le bal des problèmes de connectique et des périphériques, ainsi que la qualité de la communication en elle-même. Bref, une expérience utilisateur  pas toujours au niveau, tout en ayant ajouté un outil dans le panel à disposition des collaborateurs pour communiquer, et pris un peu plus de place sur le bureau pour installer les périphériques audio et vidéo (webcam, casque à minima, …)

Notre collaborateur, même si les infrastructures ont été unifiées, se retrouve ainsi avec non seulement un bureau bien encombré, mais un arbre décisionnel pour sélectionner quel outil utiliser pour collaborer avec qui et quand. Arbre décisionnel qui, qui plus est, n’est pas fourni explicitement mais considéré comme étant évident, et induits par les outils eux-mêmes (« Mais, si Michel est en salle 22, alors appelles le sur le 34-12 en vidéo, pas avec ton téléphone!»). Bref, notre collaborateur se retrouve donc entouré de silos de communications sur son poste de travail.

Mais cet état des lieux n’est pas terminé, car les collaborateurs ont tous avec eux le désormais sacro-saint smartphone dans la poche. Fil à la patte pour certains ou plateforme de démultiplication pour les autres, il fait, dans tous les cas, partie de la panoplie des outils de communication utilisés au quotidien, car les informations présentes sur celui-ci ne sont pas forcément présentes sur les équipements mis à disposition par l’entreprise (numéros de « maison », « enfants », …) mais aussi parce qu’elles sont accessibles très facilement (le numéro GSM de Michel dans la salle 22 après avoir essayé par tous les moyens de le joindre sans succès J )

Je vous avais prévenu que le trait était un peu grossi ? Pas tant que cela ? Un peu? Beaucoup ? Tout dépend des organisations, des environnements, mais je suis sûr que vous avez reconnu beaucoup d’environnements de ce qui vient d’être évoqué. Or la collaboration, la définition même de ce principe est de faciliter la mise en relation des utilisateurs, et la facilité est rarement induite par la multiplicité des outils.

La gamme Cisco DX est pensée et conçue pour répondre à cette problématique. Ne cherchez pas d’équivalents ou d’autres exemples sur le marché, il n’y en a pas, c’est une nouvelle proposition de valeur :

Fédérer l’accès à l’ensemble des moyens de communication, sur un terminal simple et beau.

Plutôt simple, mais extrêmement novateur, dans le sens ou l’utilisateur est remis au centre des préoccupations et du paradigme de conception de cet outil.

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L’utilisateur final a ainsi accès à un équipement dont la qualité de finition et le design ont été reconnus, et donnent tout simplement envie d’en avoir un (faîtes le test, venez le voir en démonstration chez Cisco !).

C’est un moniteur additionnel, un téléphone IP d’entreprise, un équipement personnel de vidéoconférence ou de téléprésence, une plateforme d’accès aux téléréunions ou webconférence, ainsi qu’une extension de votre smartphone.

Cet équipement bénéficie de la qualité et de la fiabilité d’un terminal conçu depuis le départ pour effectuer ces tâches, et de la qualité et de la fiabilité des communications unifiés Cisco.

Il permet également, fonctionnant sous Android, de compléter l’environnement de travail des collaborateurs avec des applications standard ou personnalisée (CRM, VDI, …).

Très bien, diront les plus attentifs, Cisco produit donc un super-terminal de vidéoconférence, avec des fonctions complémentaires  permettant d’en étendre l’usage, mais le problème du déploiement en masse évoqué ci-dessus n’est pas réglé ! Et c’est là où se trouve le second changement de paradigme de la gamme Cisco DX, c’est le positionnement à un niveau de prix permettant le déploiement non plus sur une catégorie privilégiée d’utilisateurs, mais à tous les collaborateurs.

Interagir en face à face avec un collègue d’une simple pression du doigt, sans se soucier de la technologie, là est la valeur de la collaboration. Là est la transformation permettant d’accélérer les prises de décisions, les résolutions de problèmes, les partages d’informations.

Je vous invite à faire les tests vous-même en utilisant quelques DX sur votre environnement, ils s’installent en effet dès la version 8.6.2 du CUCM. Utilisez-les en groupe sur une population diverses d’utilisateurs nécessitant des interactions fréquentes, parfois impromptues, et pas localisées au même endroit, que cela soit de sites géographiques, des étages ou même des salles différentes. Ne les utilisez pas sur un groupe restreint d’utilisateurs tous dans la même salle, si l’effet visuel est séduisant, les bénéfices ne seront pas à la hauteur de ce que vous auriez pu en retirer.

Contactez vos interlocuteurs Cisco habituels pour obtenir des informations complémentaires, une démonstration, lancer une évaluation, ou encore échanger sur vos projets.

D’ici là, vous pouvez visionner la démonstration de Rowan Trollope du DX80:

Ou encore notre cher ami de la mer baltique nous présentant ses fonctions préférés sur le DX:

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