Un sourire est un sourire : pourquoi la vidéoconférence est-elle mon outil de productivité numéro 1
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Je vais vous le dire sans détour : j’adore utiliser la vidéo dans ma journée de travail. Pourquoi? Parce que… le langage corporel. Il m’est arrivé trop souvent de blesser quelqu’un accidentellement par texto ou au téléphone, à cause de mon choix de mots ou de mon intonation, alors que ce n’était pas mon intention. La possibilité de voir la personne avec qui je parle fait disparaître toute ambiguïté : un sourire est un sourire. Mais il est essentiel de voir ce sourire.
Si le langage corporel est si important, pourquoi toutes mes réunions ne se déroulent-elles pas en personne? De manière réaliste, ce n’est tout simplement pas possible dans un pays de la taille du Canada. Je suis responsable des ventes et des opérations dans l’est du Canada et des réunions en personne ne me permettront pas de couvrir efficacement la région. Pour relever les défis que pose la distance, j’utilise la vidéoconférence. Par exemple, je participe à des réunions hebdomadaires de prévision sur trois écrans avec mes directeurs généraux à Halifax, à Québec et à Ottawa. C’est comme si nous étions tous dans la salle ensemble. Une fois que nous avons terminé, personne n’embarque dans une voiture pour conduire deux ou trois heures. Ou pire encore, pour se diriger vers l’aéroport avant de consacrer le reste de sa journée à son déplacement pour rentrer à la maison.
Bien que la plupart des gens utilisent une sorte d’appel vidéo dans leurs vies personnelles, les entreprises ne tirent pas parti de la vidéo dans toute la mesure où elles le devraient, à mon avis. Peut-être les entreprises ne comprennent-elles pas pleinement le rendement de l’investissement (RDI) lié à l’adoption de cette technologie et de cette nouvelle façon de travailler. Le RDI ne concerne pas seulement l’argent que vous dépensez pour le matériel ou les logiciels. Une augmentation de la productivité est un RDI tout aussi pertinent, voire peut-être plus important encore.
La vidéo est un moyen facile de réaliser ces avantages.
Songez à la circulation sur n’importe quelle route reliant deux grandes villes du Canada… Montréal et Québec, par exemple. Tous les jours, des gens font ce déplacement : 500 km de conduite aller-retour pour une réunion de 60 minutes. Un vol est tout aussi pénible, empiétant sur la journée et nuisant à la productivité. La vidéo fait en sorte qu’il n’est pas nécessaire d’être présent physiquement pour tenir une réunion « en personne ». Pensez-y de cette façon : au lieu de gaspiller les trois heures suivant une réunion pour rentrer chez vous, vous pourriez visiter un client ou tenir une autre réunion « en personne »… sans quitter votre bureau.
La vidéo est bien plus qu’un simple outil pour augmenter la productivité : c’est un moyen d’humaniser la communication, de lui redonner sa touche personnelle. Nous disposons de tellement de moyens d’être en contact avec les gens (courriels, textos, téléphones), mais seule la vidéo nous permet de voir l’autre. Nous utilisons déjà la vidéo dans nos vies personnelles. Il est temps d’en élargir l’utilisation à d’autres domaines.
Des domaines comme les soins de santé, une passion pour moi. Quand j’avais 9 ans, mon oncle est décédé des suites de la dystrophie musculaire à l’âge de 27 ans. À ce moment-là, je ne comprenais pas pourquoi il était en fauteuil roulant – peut-être avait-il subi un accident? – rien de spécial à signaler, toutefois. Il était malade et en fauteuil roulant. J’avais accepté sa situation sans poser de questions. Rétrospectivement, je me rends compte que ma famille avait de la chance de vivre dans une ville et d’avoir accès au système de soins et d’assistance que requiert cette maladie.
J’ai trois enfants et je ne parviens pas à imaginer une situation dans laquelle nous n’aurions pas accès à des ressources nécessaires pour un motif aussi simple que la distance.
Selon moi, il ne fait aucun doute qu’en tirant parti comme il faut de la vidéo, au moyen de la bonne solution, cette technologie améliorerait considérablement la productivité de notre système de santé et que cela permettrait d’offrir de meilleurs soins aux patients au bénéfice de tout le monde.
Les patients qui se trouvent dans des zones éloignées pourraient communiquer avec des spécialistes des centres urbains sans se déplacer. Les patients hospitalisés pourraient garder le contact avec leur famille à un niveau plus personnel. Les membres de la famille pourraient participer à des réunions avec l’équipe soignante, même s’ils ne sont pas en mesure de se rendre à l’hôpital.
Pour que la vidéoconférence fonctionne pour vous, pour votre entreprise ou pour notre système de santé, elle doit faire appel à la bonne solution. Elle doit réaliser ses promesses en stimulant la productivité et les prises de contact plus humaines. Pour que vous puissiez travailler, la vidéoconférence doit bien fonctionner.
Alors… Pourquoi choisir Cisco? À mon avis, il y a deux raisons pour lesquelles les solutions de vidéoconférence de Cisco sont les meilleures sur le marché : des normes ouvertes et une gamme complète.
Nous avons compris : chaque entreprise utilise une tonne de produits et d’applications différents et vous devez être en mesure de les faire fonctionner ensemble. Des normes ouvertes signifient que notre technologie peut s’intégrer avec les autres solutions commerciales que vous utilisez, comme Microsoft Office, Google ou Apple. Tout le monde est bienvenu dans notre carré de sable.
Nous avons commencé à parler de la téléprésence et de la vidéoconférence il y a 15 ans. Depuis, nos solutions ont évolué de façon radicale. Nous disposons d’une gamme complète de A à Z qui ne nécessite pas de tierces solutions. D’autres solutions ne sont pas parfaitement intégrées : elles peuvent offrir le logiciel, mais vous devez disposer d’une unité vidéo et d’un pont entre le logiciel et l’unité vidéo. Dès que vous ajoutez ces couches, vous en compliquez le fonctionnement. Chaque salle finit par avoir sa propre façon de lancer une réunion. Sans oublier sa propre façon de se joindre à une réunion en mode mobile.
L’autre jour, je discutais avec un client qui se plaignait des vidéoconférences à son bureau : un véritable cauchemar. Il me disait que les 10 à 15 premières minutes sont consacrées à la mise en train de la technologie vidéo. De toute évidence, son entreprise n’a pas une solution de Cisco. Enfin, pas encore.
Nos solutions sont faciles à utiliser : un seul bouton pour démarrer, la même expérience en mode mobile, des codecs puissants, de sorte que la qualité vidéo demeure excellente, quelle que soit la bande passante. Parce que si ce n’est pas facile, en quoi cela vous profite-t-il?
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