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Software Defined Network, Virtual Network Overlay : analyse par ESG

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Il y a quelques semaines je vous faisais part de l’annonce Cisco ONE (Open Network Environment) qui marquait une étape dans la stratégie réseaux en offrant un ensemble d’interfaces réseaux programmables qui inclue Nexus 1000V-based virtual overlays.

Les différentes communications qui fleurissent autour de SDN (Software Defined Network) , la création de la société Insieme avec une participation financière de Cisco et plus récemment le rachat de Nicira par VMware montre que le sujet commence à intéresser du monde .

Comme tout nouveau sujet il n’est pas toujours  facile de savoir à qui s’adresse ces nouvelles technologies , de mesurer l’impact sur les architectures en place et surtout de prévoir le temps  l’adoption par le marché.

Pour vous aider à vous y retrouver , au moins en ce qui concerne la stratégie Cisco, l’ Enterprise Strategy Group (ESG) vient de publier cette semaine un whitepaper ainsi qu’une  video portant sur  la partie « virtual network overlays » et sur l’utilité dans des environnements  multi-tenants.

ESG souligne que les virtual network overlays sont importants pour concevoir des environnements  multi-tenants tels que des clouds privés et hybrides et dépasser les problèmes d’évolution de ces environnements basés traditionnellement sur des réseaux virtuels VLANs.

Comme le fait remarquer ESG , et qui avait été mentionné par Cisco dans l’annonce ONE, la « programmabilité » des réseaux virtuels est réellement ce qui fait la différence par rapport à des « overlays »classiques (d’une manière général un protocole overlay rajoute de l’intelligence ou des fonctionnalités au réseau) basés sur des tunnels  MPLS ou GRE.

Le  Nexus 1000V apportera ces possibilités de programmation au travers d’API SDN telles que  OpenStack au dessus du  Nexus 1000V virtual supervisor module.

ESG  apporte aussi quelques informations intéressantes sur ce que cherchent les organisations lorsqu’elle choisissent un switch virtuel.

Cette sélection de critères provenant de multiples organisation permet de mesurer l’adéquation du Nexus 1000v par rapport à ces attentes. Par exemple on peut souligner l’intégration simple de ce Nexus 1000 avec les serveurs et les fabrics interconnects, la gestion commune d’une infrastructure comportant switchs virtuels et physiques, le support de serveurs hétérogènes et progressivement le support multi-hypervieurs (VMware, HyperV à l’automne).

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