Tirer un câble jusque dans les nuages c’est aussi le titre que l’on aurait pu donner au séminaire Panduit « la métamorphose du datacenter » qui se tenait ce jeudi 29 septembre à l’hôtel Concorde Lafayette et accueillait près de 80 participants .
En effet il important de ne pas oublier que pour tenir ses promesses , le Cloud doit être appréhendé dans tous ses aspects aussi bien en terme d’organisation à mettre en place que sous l’angle logiciel qui va donner accès à des services qui seront eux même supportés par un socle d’infrastructure.
Ce socle d’infrastructure , s’il est besoin de le rappeler, est composé d’éléments dont les cycles de vie sont extrêmement différents. Négliger cet aspect c’est aller au devant de bien des déconvenues et c’était l’objet de mon exposé :« l’impact du cloud sur la gestion du datacenter ».
Ce socle d’infrastructure doit permettre d’évoluer linéairement en fonction des besoins mais bien souvent cette évolution s’accompagne d’une complexité qui peut mener à des impasses incompatibles, à terme, avec la scalabilité , l’élasticité, l’agilité et l’optimisation des coûts espérés avec le Cloud.
C’est ce que j’ai cherché à démontrer en illustrant par l’exemple des architectures Nexus pour le réseau et UCS pour les serveurs .
Des innovations comme l’extension de fabric (utilisé avec les Nexus 2000 et l’UCS) et les ports unifiés(utilisés avec les nexus 5000 et l‘UCS) n’étaient que quelques exemples de simplifications d’architectures facilitant la scalabilté de ce socle du cloud.
Le rôle du câblage est évident et nécessite un dialogue entre les équipes en charge des « facilities » et les architectes réseau tout particulièrement. Topologies, technologies …autant de choix qui peuvent être structurants.
Panduit en a profité pour rappeler les racks supportants les gammes Nexus y compris le dernier annoncé le 7009
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