Une conversation avec le champion de la NBA Danny Green, rendue possible par Webex
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Il y a un an, il y avait une joie pure et véritable dans les rues de Toronto et dans tout le pays. Près de deux millions de personnes se sont présentées pour célébrer le premier championnat NBA du Canada dans un défilé de plusieurs heures. C’était magnifique.
Aujourd’hui, il est particulièrement émouvant de commémorer sur ce moment historique. Maintenant, les choses sont… différentes, c’est le moins qu’on puisse dire.
Si la pandémie nous a appris une chose, c’est la résilience. Et l’innovation.
Jadis, organiser une rencontre avec une vedette du sport comme Danny Green lors d’un événement en direct aurait été un casse-tête logistique et une expérience accessible à très peu de gens. Mais dans notre nouvelle réalité virtuelle? Parler avec lui peut être aussi simple qu’un clic de souris de votre bureau à domicile.
Le lundi 15 juin, CDW Canada et Cisco ont organisé une séance de questions en direct sur Webex avec le champion de la NBA et l’ancien joueur vedette des Raptors.
« L’homme en or du pays des trois points », comme on le sait, répondait à des questions aussi variées que ses talents.
À propos des événements actuels et du mouvement Black Lives Matter : il pouvoir utiliser sa tribune afin de pousser au changement, en commençant au niveau local. « Il ne s’agit pas seulement de jouer au basket-ball, mais d’intervenir et d’être le porte-parole du changement », a-t-il déclaré. Il a également exprimé sa gratitude pour les héros que sont les intervenants sur la ligne de front qui luttent contre la pandémie. « Nous ne vous remercierons jamais assez. »
Sur cette victoire historique : « Les Canadiens sont formidables! » s’est-il exclamé.C’était vraiment exceptionnel de gagner à Toronto, dans une organisation et un pays pour lesquels c’était une première. « Rien ne pourrait égaler cela. »
Sur la gestion de la quarantaine et l’exercice physique pou regarder la forme : c’est un obligation quand on est payé pour être en forme, a expliqué Green. «Si vous voulez faire partie de cette ligue, vous devez être toujours à votre meilleur. Vous ne voulez pas laisser tomber votre équipe. »
Au début, Green et ses coéquipiers faisaient du coaching en ligne, en utilisant du matériel à domicile. Maintenant, ils sont de retour à la salle de gym adaptée pour respecter la distanciation sociale.
Son dévouement ne surprend pas lorsqu’on l’entend décrire son éducation. Très jeune, il s’entraînait pendant des heures tous les jours. J’en m’entraînais souvent pendant deux à trois heures en ligne, faisant 500 tirs par jour. C’est son père qui lui a fait connaître ce sport et qui est encore son « meilleure fan, entraîneur et critique .»
Que pense-t-il de la façon dont les parties seront organisées, cette année, sans le public? Il est simplement content (et content pour les fans), bien qu’il reconnaisse que ce sera un peu étrange pour les joueurs.
Green a bien des raisons d’être enthousiaste par rapport à cette année. En plus des parties qui reprendront bientôt, il s’est récemment fiancée avec sa conjointe. La demande romantique a eu lieu dans un endroit isolé sur la côte californienne, un moment qu’il a planifié pendant plus de 6 mois.
Alors, qu’est-ce qui lui manque de Toronto? Pas le froid ou la neige. Ni le lait en sachet ou la sauce A1. « Ce sont les gens et l’énergie », a-t-il déclaré.
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