L’arme secrète d’un parent qui travaille : la culture du milieu de travail et les solutions de collaboration
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Il y a six semaines, j’ai fait quelque chose que des millions de parents font chaque jour : je suis allée travailler. C’était un lundi ordinaire pour tout le monde. Mais pour moi, c’était ma première journée de travail après un congé de maternité d’un an. J’avais l’impression d’aller travailler pour la toute première fois.
Comme toutes les autres familles, nous nous ajustons à notre nouvelle réalité. Ma fille s’habitue à la garderie, et mon mari et moi apprenons à jongler entre nos engagements de professionnel, de parent et de couple. Même la chienne doit s’habituer à être de nouveau seule pendant la journée. Il s’agit d’un golden retriever. C’est probablement elle qui a le plus de difficultés à s’adapter à ce changement.
C’était la semaine où j’avais l’impression que je devais absolument me rendre au bureau… et j’essayais de trouver une façon de prendre soin de ma fille.
Tout le monde m’avait averti que ma fille attraperait chaque petit virus une fois qu’elle irait à la garderie. J’étais prête à cette éventualité. Toutefois, je n’avais pas réfléchi à comment j’allais prendre soin d’elle tout en continuant de travailler. Un mercredi, ma fille a eu une conjonctivite, et le médecin a déclaré que je devais la garder à la maison jusqu’au lundi suivant. Trois jours à la maison avec un enfant d’un an, tout en essayant de travailler à temps plein. Bien sûr, ça s’est produit alors que le nouveau directeur de mon service entrait en poste et que le vice-président était en ville pour faciliter la transition. C’était la semaine où j’avais l’impression que je devais absolument me rendre au bureau, mais je devais trouver une solution pour prendre soin de ma fille.
Je suis chanceuse de disposer de deux atouts au travail. Tout d’abord, je suis employée par une entreprise qui croit réellement en l’importance de la conciliation entre le travail et la vie personnelle. Le travail doit être fait, il n’y a aucun doute là-dessus, mais il n’a pas besoin d’être effectué entre 9 h et 17 h. Lorsque j’ai dit que ma fille avait une conjonctivite, qu’elle devait rester à la maison et que mon mari souffrant d’une intoxication alimentaire (je vous jure que je n’invente rien!) s’en occuperait, on m’a dit de retourner chez moi auprès de ma famille et qu’« on trouverait une solution ». J’ai immédiatement été soulagée d’un poids, de cette culpabilité de ne pas être présente pour ma famille quand elle avait besoin de moi.
Ma fille avait une conjonctivite, elle devait rester à la maison et mon mari souffrait d’une intoxication alimentaire… et on m’a dit de retourner chez moi auprès de ma famille et qu’« on trouverait une solution ».
Le deuxième atout est les solutions de collaboration mises à ma disposition. Il se trouve que l’entreprise qui croit en la conciliation travail-vie professionnelle pour laquelle je travaille conçoit également les meilleurs produits de collaboration au monde. Et elle applique ses principes. J’ai la possibilité de travailler de la maison les vendredis, lorsqu’une importante tempête de neige est prévue ou simplement quand j’ai besoin de silence pour accomplir mes tâches.
Il est possible d’être productif et de demeurer connecté tout en travaillant de la maison grâce à nos solutions de collaboration. Dans mon cas, il s’agit de Cisco Webex Meetings et de Teams.
Plutôt que d’avoir l’impression que je n’étais pas « présente » durant cette semaine importante, j’étais bel et bien là grâce à Cisco Webex Meetings.
Je n’avais jamais entièrement réalisé que la technologie me permettrait d’être productive MÊME en prenant soin de ma fille. Plutôt que d’avoir l’impression que je n’étais pas « présente » durant cette semaine importante, j’étais bel et bien là grâce à Cisco Webex Meetings. Et quand ma fille s’est réveillée de sa sieste, elle a fait ses débuts chez Cisco durant la réunion générale de mon service.
Ses débuts à l’écran
Je ne dis pas que ces trois jours ont été parfaits. Il y a eu des défis, des réunions auxquelles j’ai assisté sans y participer activement parce que ma fille devait manger, ainsi que des soirées passées à travailler. Mais j’ai toujours été présente. J’ai continué à travailler et à ajouter de la valeur.
Tout ça pour dire que la combinaison de la culture du milieu de travail et de la technologie m’a permis d’être productive alors que, sans ces deux atouts, j’aurais dû prendre un congé. Je sais que ma fille va malheureusement encore tomber malade. Mais ce n’est pas si grave : Cisco et ses solutions de collaboration sont là pour moi.
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