Q – Qu’est-ce qui a suscité votre intérêt à être porteur de la flamme pour les Jeux TO2015 ?
Je suis né au Venezuela, mais j’habite Toronto depuis 1987. Je suis un ancien athlète stadiste et j’ai participé à de nombreuses compétitions provinciales, nationales et internationales entre 1987 et 1993. Être un des porteurs de la flamme pour les Jeux panaméricains de Toronto 2015 est un privilège qui me permettra de revivre certains de mes souvenirs d’athlète et confortera encore plus mes racines dans cette formidable ville et dans le formidable pays où nous vivons. Ma femme Heather, et mes enfants Daliah, Elan, et Tal, ont toujours été une source d’inspiration pour faire le mieux que je pouvais, tant sur le plan personnel que professionnel. Je suis honoré d’avoir été choisi pour être un des porteurs de la flamme et contribuer brièvement à ce moment historique en portant, avec cette flamme, l’esprit des Jeux panaméricains de Toronto 2015. Je représenterai ma famille, ma ville, et mon pays avec fierté.
Q – De quelle façon vous êtes-vous personnellement investi dans le sport ou le conditionnement physique ?
Enfant, j’ai grandi en jouant au soccer; mais au début de l’adolescence, j’ai été recruté comme sprinter par un club local d’athlétisme au Venezuela. J’ai atteint le haut du classement national des sprinters au 100 mètres, au 200 mètres et au 400 mètres. Pendant que j’étais étudiant en génie industriel à l’Université de Toronto, j’ai poursuivi ma carrière de stadiste et j’ai obtenu un prix d’excellence dans l’équipe universitaire. J’ai aussi fait partie de l’équipe nationale trois fois, ce qui m’a permis de représenter le Canada dans plusieurs compétitions internationales. En tant que dirigeant d’entreprise, je participe à des courses pour des organismes de bienfaisance et pour d’autres défis liés à des action sociales. Enfin, étant parent de trois enfants, je reste très actif en pratiquant des sports et en conservant une vie saine et équilibrée. Je suis également un surfeur et est un drogué à l’adrénaline. Cet été, je prévois d’essayer le kiteboarding.
Q – Si vous aviez l’occasion de faire une chose qui sort de l’ordinaire en portant la flamme, quelle serait-elle?
Je ne veux pas être irrespectueux envers les jeux ou les athlètes; mais puisque vous me le demandez… Je mimerais la course au ralenti afin de faire durer ces instants aussi longtemps que possible, et je prendrais un égoportrait au moment où je transmettrais la torche au relais suivant afin de capturer ce moment où l’on ressent ce lien qui nous unit avec un parfait étranger.