Dans le cadre de mon premier blogue, je pense qu’il serait bon de vous parler un peu de moi et de mes fonctions chez Cisco. À titre de vice-président des services, je dirige une équipe qui œuvre partout au Canada auprès des clients afin de créer et de maintenir des solutions informatiques novatrices qui leur permettent d’être plus concurrentiels. En bref, j’aide les clients à tirer le maximum de leurs technologies.
Après 14 années au sein de Cisco et 6 mois à titre de directeur des services pour le Canada, je crois vraiment que le moment est vraiment propice pour ceux qui œuvrent dans les services. Pourquoi? Parce que chaque boîte, chaque commutateur et chaque téléphone IP suivent un cycle d’utilisation.
Dès qu’un nouveau téléphone IP de Cisco est installé sur votre bureau, un processus complet se met en branle en coulisse pour vous le fournir (p. ex. les licences, les applications et l’infrastructure) pour commencer et les équipes des services sont au cœur de ce processus, car elles veillent à ce que les téléphones, les licences et les applications soient adaptés à vos activités. Ceci est vrai pour toutes les technologies implantées dans votre entreprise et les modèles d’utilisation reposant de plus en plus sur des solutions infonuagiques, les services d’informatique ont besoin plus que jamais d’un conseiller avisé pour les guider dans cette transition.
C’est avec le même sentiment d’optimisme que j’ai récemment participé au congrès de l’ACTI sur la PERSPECTIVE du gouvernement à Ottawa. ACTI, au cas où vous ne le sauriez pas, est un organisme à but non lucratif qui fait la promotion du dynamisme du secteur des technologies de l’information au Canada. Ses fondateurs se sont donnés pour mission d’aider des membres, comme Cisco, à connaître des succès dans l’ensemble du pays. Étant une personne qui a œuvré pendant longtemps auprès de clients du secteur public, dont les administrations fédérales, provinciales et municipales, j’avais très hâte d’y assister et d’écouter ce que nos dirigeants du secteur public avaient à dire des défis qu’ils ont à relever.
Ce que j’y ai entendu est très révélateur.
Tout au long du congrès, notamment lors de ma conversation très brève, mais combien éclairante, avec la dirigeante principale de l’information du gouvernement du Canada Corinne Charette, le terme sur toutes les lèvres était la gestion du risque. Le secteur public tout comme les entreprises se questionnent sur les façons de réduire les risques, de rebâtir les systèmes après des pannes majeures et d’aborder les modèles d’utilisation en mode partagé. Il semble que la sécurité est une préoccupation commune à tout le monde.
Mais d’autres questions qui revenaient sans cesse sont peut-être encore plus révélatrices? Comment puis-je connaître mon niveau de risque? Comment puis-je mesurer mon degré de préparation aux menaces contre la sécurité? Que faire lorsque nos systèmes ont été compromis par des attaques informatiques?
Ma réponse est claire. Les entreprises privées et les organismes gouvernementaux doivent connaître, en temps réel, l’état de sécurisation de leur réseau. Vous devez évaluer vos risques, et nous pouvons vous y aider.
Voici pourquoi. Dans un pays où le secteur public migre vers un réseau unique de télécommunications partagé (faisant partie de l’initiative globale de Services partagés Canada) nous devons nous assurer de la sécurité de ces données. Les données transitant sur nos réseaux n’ont jamais été aussi précieuses que maintenant, ni aussi vulnérables. Mais en évaluant vos infrastructures et en adaptant une solution optimale à votre réseau, vous pouvez être sûr que vos données sont sécurisées.
Comme je l’ai mentionné tantôt, c’est un moment passionnant pour œuvrer dans les services.
Pour en savoir plus sur l’Évaluation de la position de sécurité de Cisco (SPA) et les autres analyses que nous offrons, rendez-vous sur notre site web. Pour en savoir plus sur ACTI, consulter leur site Internet.
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