Je ne suis pas peu fier que Greenpeace nous ait placés en première place de son dernier classement Cool IT Leaderboard. Selon Greenpeace, les entreprises TIC sont parfaitement placées pour enrayer le changement climatique. Ce secteur est effet innovant, détient le savoir-faire technologique ainsi qu’un certain poids politique. D’où cette initiative visant à caresser le secteur dans le sens du poil…
Pourquoi Greenpeace place Cisco à la première place ? Visiblement, nous ne nous en sortons pas trop mal avec la conception de nos bâtiments, la gestion de l’énergie, le télétravail et les réseaux intelligents. Nous créons et fournissons les réseaux intelligents qui rendent bâtiments, villes et transport d’énergie smart. Dans un de mes prochains blogposts, je donnerai la parole à mon collègue John Baekelmans à ce propos. Il dirige le projet Songdo pour Cisco en Corée du Sud (nous y construisons le réseau d’une nouvelle ville).
Mais revenons plus près de chez nous : nous sommes un des moteurs du projet TIC vert de la Région wallonne, une initiative de Jean-Claude Marcourt et d’Elio Di Rupo. Nous y mettons en place un bureau virtuel où la vidéo jouera un rôle central. Vous en entendrez encore parler.
Dans mon précédent blogpost, j’indiquais déjà que nous étions aussi présents au COP15 où nous avions mis à disposition des participants un réseau TelePresence mondial de sorte que les réunions soient vraiment vertes et que nous puissions économiser beaucoup de tonnes de CO2 et d’argent.
Chez Cisco, nous voyageons le moins souvent possible : nous avons d’ores et déjà 1 000 salles de réunion équipées de TelePresence. Nous utilisons ces salles en permanence pour des réunions internes et externes. Comme Tandberg est désormais de la partie – des invités sympathiques ceci dit – nous aurons bientôt la vidéo dans chaque bureau.
Mais la pièce de résistance est notre réseau intelligent, notre smart grid. Il ne s’agit pas seulement de compteurs d’énergie intelligents dans le séjour, mais surtout d’un nouveau réseau pour le transport d’électricité. Cela représente des économies considérables, sans compter qu’il s’agit d’un marché intéressant pour nous. Histoire de prouver une fois de plus que l’économie peut facilement cohabiter avec l’écologie. Cela pourrait être un thème de la campagne électorale !
Je dois vous quitter. Mon vélo m’attend. Je dois m’entraîner de toute urgence, car la semaine prochaine, je gravirai le Mont Ventoux et je ne veux pas manquer la descente vers Malaucène. Maintenant que Greenpeace sait que je fais du vélo, peut-être recevrons-nous un p’tit point de plus. Voilà qui est cool !